Portbail

C'est à l'initiative de l'association Port-Bail-sur-Mer 1944 que cette stèle à vu le jour. Pour un devoir de mémoire, elle explique l'avancée des alliés jusqu’à Portbail le 17/06/1944 pour couper le Cotentin et monter en direction de Cherbourg. Portbail de part sa position subit bombardements et combats et fut libéré que le 04/07/1944.

Portbail devait être une jolie petite ville côtière avant que les avions américains ne détruisent tant de ses murs. Il y avait beaucoup de tristesse ici, même avec les Américains amicaux, honnêtes et sincères qui arpentaient les rues.

Nous avons été les premiers des Américains à être vus par ces habitants déplacés. Le lait et le fromage étaient en abondance, ces gens voulaient nous en donner. J'ai pris une grosse motte de beurre de cing livres, offerte par une épicière, mais seulement après qu'elle ait insisté.

Nous nous rendions à moitié malade avec le beurre, en l'étalant en couches plus épaisses que nos biscuits de ration K. et C. Ensuite, nous nous sommes arrêtés pour la nuit. C'était la première nuit depuis le débarquement que moi, et le reste de mes compagnons, avions dormi sans être dans un trou. Je ne pense pas que j'aurais aussi bien dormi si j'avais dû en creuser un.

Nous sommes revenus à nos positions défensives le lendemain et nous avons apprécié chaque minute de notre expédition au bord de la mer

Jack AMMONS

Compagnie C-357ème spawal itd Infanter

90ème Division d' Infanterie

Contribution: Grasset Jacques

C'est à l'initiative de l'association Port-Bail-sur-Mer 1944 que cette stèle à vu le jour. Pour un devoir de mémoire, elle explique l'avancée des alliés jusqu’à Portbail le 17 06 1944 pour couper le Cotentin et monter en direction de Cherbourg. Portbail de part sa position subit bombardements et combats et fut libéré que le 04 07 1944.Portbail devait être une jolie petite ville côtière avant que les avions américains ne détruisent tant de ses murs. Il y avait beaucoup de tristesse ici, même avec les Américains amicaux, honnêtes et sincères qui arpentaient les rues.Nous avons été les premiers des Américains à être vus par ces habitants déplacés. Le lait et le fromage étaient en abondance, ces gens voulaient nous en donner. J'ai pris une grosse motte de beurre de cing livres, offerte par une épicière, mais seulement après qu'elle ait insisté.Nous nous rendions à moitié malade avec le beurre, en l'étalant en couches plus épaisses que nos biscuits de ration K. et C. Ensuite, nous nous sommes arrêtés pour la nuit. C'était la première nuit depuis le débarquement que moi, et le reste de mes compagnons, avions dormi sans être dans un trou. Je ne pense pas que j'aurais aussi bien dormi si j'avais dû en creuser un.Nous sommes revenus à nos positions défensives le lendemain et nous avons apprécié chaque minute de notre expédition au bord de la merJack AMMONSCompagnie C-357ème spawal itd Infanter90ème Division d' InfanterieContribution: Grasset Jacques